Chaque jour, ou presque, Barz se rend à son travail, passe devant le kiosque à journaux, lit le titre du Parisien, et lors de son trajet de métro (environ 20 minutes avec un changement), en fait tout un poème.
C’est bientôt fini
Si ce n’est que le début,
autant prévoir de ce pas le dénouement,
il ne sert à rien de regarder avant
le début, mais porter son regard
après la fin. Qui n’est pas une fatalité, n’est-ce pas ?
Je vous propose un exercice :
dès que vous voyez un commencement
pointer le bout de son nez,
achevez-le immédiatement,
rapidement, avec ou sans douleur.
Si vous ne le faites pas, c’est
comme ça qu’on se retrouve
avec des mémés dans les orties