Chaque jour, ou presque, Barz se rend à son travail, passe devant le kiosque à journaux, lit le titre du Parisien, et lors de son trajet de métro (environ 20 minutes avec un changement), en fait tout un poème.
LA TEMPÊTE HULOT
S’approche de nos côtes !
Les mouettes ne rient plus,
Les moules se referment,
Les bulots cessent de buller,
les huîtres déperlissent,
les couteaux s’émoussent,
Les algues sont vertes,
La mer écume de rage,
Et les châteaux de sable,
avec leurs douves et leurs
pont-levis, s’apprêtent à se
transformer en châteaux de cartes.
Météo France ne sait plus quelle
couleur donner à sa vigilance.