[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]A[/mks_dropcap]vec La Ferme aux poupées, l’auteur polonais Wojciech Chmielarz confirme ce que nous avait déjà suggéré son roman précédent, Pyromane, également paru chez Agullo, à savoir que son héros, l’inspecteur Jakub Mortka, dit le Kub, n’a pas fini de nous surprendre.
Cette fois, le Kub, plaqué par sa femme qui est partie avec leurs deux fils, est envoyé au vert, dans les montagnes, à Kretowice. Dès les premières pages, on comprend que Chmielarz ne va rien nous épargner : un vrai démarrage de thriller, avec un homme en 4×4, une petite fille sur le bord de la route, et l’homme qui ralentit…
Une disparition d’enfant. Et ce n’est pas la première. Mais la première petite fille disparue faisait partie de la communauté tsigane. Et la police locale ne s’est pas donné beaucoup de mal pour la retrouver. Racisme, préjugés, violence, haine : le décor est planté, et le Kub va devoir mener une enquête difficile, car il va bien falloir s’intéresser à nouveau à cette disparition. Ce que va découvrir le Kub est absolument effrayant, et le chemin qu’il va devoir parcourir pour dévoiler l’invraisemblable vérité va être escarpé. Dure enquête pour Jakub Mortka, qui tombera dans les pièges qu’on lui tend et s’en relèvera difficilement, tout au long d’une intrigue à multiples ressorts, menée à un rythme sans pitié.
Merci!