Un phénomène nouveau dans le petit milieu littéraire germano-pratin de chou-fleur :
Certains auteurs s’organisent en réseau,
presque en mafia, afin de déstabiliser
leurs concurrents. Ils s’installent en terrasse
du Flore ou des Deux Magots – ou pour
les plus pervers comme C. A. du
Léon de Bruxelles – afin de dérober
le bien le plus précieux des écrivains
qui pourraient vendre plus qu’eux,
histoire de les paralyser, pourquoi pas
les anéantir : ils leur volent leurs stylos.