Chaque jour, ou presque, Barz se rend à son travail, passe devant le kiosque à journaux, lit le titre du Parisien, et lors de son trajet de métro (environ 20 minutes avec un changement), en fait tout un poème.
Chaque nuit , mon amour, je te ferai
la retraite au flambeau, descendre
vers toi pour éclairer ta nuit.
Nous serons vieux nous serons encore
beaux et mon chiffon imbibé d’essence
nous étourdira et nous maintiendra
dans un état d’ivresse nocturne
que pour rien au monde nous
ne voudrions écarter de nos vies.
Ce qui va vraiment changer :
Tu m’aimeras comme jamais
tu n’as aimé.