[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]L[/mks_dropcap]’Écosystème Darwin est un endroit à Bordeaux situé tout près de la Garonne sur la rive droite. C’est un lieu alternatif dédié au développement économique responsable, à l’entrepreneuriat social, à la transition écologique et à l’activisme citoyen.
Situé sur les anciennes friches de la caserne Niel, le site, sur 3 hectares est peu à peu restauré et propose co-working, épicerie et restaurant bio, espaces associatifs et propose régulièrement des moments festifs et culturels (concerts, rencontres, débats,…).
Pour la 2ème année s’y est déroulé l’Ocean Climax Festival où se sont côtoyés des intervenants tels Edgar Morin ou Nicolas Hulot pour les plus connus avec des artistes musicaux de premier plan. Ainsi donc le public a pu indifféremment participer aux débats de haut niveaux pour éveiller leur conscience, voir des endroits dédiés aux artistes et sportifs (graf et glisse) et voir de nombreux groupes musicaux pendant ces 4 jours.
Je n’ai malheureusement pas pu assister à la 1ère journée où le public a pu participer à la conférence de Nicolas Hulot, aux DJ Set de Metronomy, Darius et Feynman des expo photos John Trackwray, Bastien Bonnarme et autres réjouissances.
Ce n’est que le 2ème jour que j’ai pu venir au festival, accueil très sympa, le site encore plus accueillant que d’habitude et de très nombreux bénévoles rendant l’événement encore plus agréable.
Un hangar où sont regroupées une vingtaine d’ONG, de Greenpeace, Amnesty internaional, Syrie Démocratie… et enfin le lieu dédié à la musique, une grande scène et une dite petite scène, mais qui ferait pâlir d’envie nombre de festival. Tout cela étant alimenté bien entendu avec de l’énergie verte. Disséminé au fond du site des food truck eux aussi dans le thème proposant de la nourriture bio et local.
Cliquez sur les images pour les agrandir
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C’est le groupe Bengale qui a la rude tache d’ouvrir cette 2eme journée, 18h, peu de monde encore devant la scène mais ils nous balancent avec un plaisir évident les titres de leur dernier EP.
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Ariel Ariel, autre groupe bordelais qui monte sur scène, avec des musiciens qui font également parti d’autres groupes du coin (Sahara, Invivo, Cliché, Pendentif, The Bad Inters). Les voix haut perché d’Ariel et Blandine se baladent sur des titres où se mêlent pop, electro et quelques sonorités tropicales.
https://soundcloud.com/arielariel/sets/playlist-ep
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Keren Ann arrive sur la grande scène. Le public, plus nombreux se presse devant le trio. J’aime beaucoup ce qu’elle fait mais je ne suis que moyennement convaincu par la prestation du groupe. L’ambiance « festival » n’étant sans doute pas l’écrin qu’il faut à sa musique.
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A peine la belle Keren a terminé son set que commence sur l’autre scène la prestation de Papooz. Ils emmènent avec eux le soleil, que ce soit par leur musique ou leur look (le bassiste donne l’impression de venir directement du Cap Ferret et d’avoir laissé sa planche de surf derrière les amplis). Ça fonctionne pour le public et la joie et la bonne humeur se retrouvent des deux cotés du crash barrière.
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De plus en monde devant la grand scène pour Lili Wood & The Pricks, efficaces, ils enchainent les titres, le public chante avec eux sur certains, j’ai même apprécié 2 morceaux d’eux.. L’effet grande messe à communier tous ensemble ? En tout cas, ils n’ont pas boudé leur plaisir et l’ont partagé allégrement.
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Ce sont deux anciens de Popopopops qui viennent partager leur soul pop avec leur duo Her. Les garçons, propres sur eux, en costard, sont accompagné pour la scène par 3 musiciens. C’est sensuel comme il faut et l’on trouve au 1er rang un public essentiellement féminin.
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C’est un petit bout de femme qui prolonge la soirée sur la grande scène, blonde, toute vêtue de noir, et quelle voix!! Le groupe assure derrière elle, et l’on sentune belle complicité avec sa choriste. Selah Sue a fait le show, une belle prestation, même si l’on n’est pas fan de la miss (ce qui est mon cas) on ne peut que reconnaitre son talent. Elle chante merveilleusement bien, joue de la guitare, bouge et sais communiquer avec le public son plaisir d’être là.
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L’impératrice est dans l’air du temps, une electro pop sur fond de disco etdes textes en français, et l’envie de faire danser… C’est chose faite à l’ Ocean Climax Festival où le public a bougé son boule.
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Odezenne est un groupe iconoclaste, on ne sait pas trop où les classer et ça leur va bien. Un groupe fourre tout qui lorgne entre le Hip Hop, la chanson française, le rock, la pop. Ils pourraient se perdre parmi toutes ces références, mais leur public les suit et le groupe les emmène où il veut.
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La soirée du samedi a forcement attiré plus de monde (sur l’ensemble des 4 jours quelques 27 000 festivaliers se sont déplacés).
Le festival a fait la part belle aux groupes bordelais, et c’est encore un groupe du cru qui a ouvert le bal ce samedi soir.
Cliché comme à son habitude a balancé ses titres pop avec l’espèce de nonchalance propre au chant d’Hervé. Les (bons) textes, en français dégagent une certaine poésie, de la sensualité, sur une ambiance qui mélange une certaine variété, de la french touch et de la pop.
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Suit ensuite un autre groupe du cru bordelais, John and the Volta. Moins présents ces derniers temps sur les scènes, ils ont fignolé leurs morceaux, l’amorce electro présente sur les anciens morceaux du groupe est encore plus présente sur leurs nouvelles compos. Bon je l’avoue, c’est l’un de mes groupes préférés du coin.
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Venant de leur ancienne Albion, Temples a ensuite balancé son rock psyché. C’est propre, bien joué, mais j’aurais préféré un set plus énergique, plus sale, moins appliqué. Ce n’est pas tout d’être looké comme les groupes d’époque… ils n’ont pas été mauvais loin de là mais peut être ai-je été un rien déçu parce que j’en attendais trop ?
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Une mention spéciale pour Grand Blanc, après une intro plantée (problème de câble HS) le groupe a mis le paquet pour faire totalement oublier cet incident. C’est résolument noir, mais de ce noir lumineux. Le duo de la voie masculine et féminine marche à merveille. Une des bonnes surprises de ce festival.
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AIR, l’une des grosses pointures de ce festival!! un seul bémol, le groupe a enchainé les morceaux sans aucun échange avec le public, mais bon, grande classe sur scène, 11 titres d’une redoutable efficacité ; Ils ne sont pas les rois de la french touch pour rien.
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J.C. Satan et leur rouleau compresseur ont envahi la petite scène, c’est brutal et complexe, mais pas que, de belles mélodies traversent les morceaux et devinez d’où ils sont..? non je ne suis pas chauvin mais quand-même y a du bon à Bordeaux !
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Comment s’éclater sur de la musique qu’on n’écoute jamais habituellement ? Aller au festival Ocean Climax Festival et faire des photos de De La Soul. Ils ont pris de l’âge, du poids (je me sens moins seul.) mais balancent leur Hip Hop comme des jeunots. Le public est à fond, en redemande, ceux qui se rappellent leur jeunesse, ceux qui découvrent, le groupe fédère les générations.
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J’ai zappé les deux derniers groupes KLF et Cassius, mon dos m’ayant rappelé que je n’étais plus si jeune.
Ce festival ambitieux propose de réfléchir et de se divertir. Pour sa deuxième édition, il y a parfaitement réussi. Ils sont heureux d’avoir rempli le contrat et sans nul doute vont bosser sur une 3eme session !
Encore plus grande, plus ambitieuse ? Rendez-vous l’an prochain.
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