Avril est le mois des retrouvailles : Legion, Westworld, The Expanse, The Handmaid’s Tale…
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WELCOME BACK !
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[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]Legion S2[/mks_dropcap]
[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#5b5b5b »]03/04[/mks_dropcap][mks_separator style= »solid » height= »2″]
03/04 sur FX 04/04 sur OCS
Une des meilleures séries de l’année dernière fait sa réapparition pour notre plus grande satisfaction. Nous avions laissé David Haller (Dan Stevens), le mutant le plus puissant du monde, perdu dans son monde astral, toujours pourchassé par Amahl Farouk alias Shadow King (Navid Negahban).
La logique du récit semble s’être inversée. Si, dans la première saison, David était un homme fou errant dans un monde soi-disant normal, cette saison annonce les aventures délirantes d’un homme « normal » dans un monde hallucinant…
Autant l’intrigue paraît plutôt nébuleuse à la manière de ce qu’on a pu connaître précédemment, autant la réalisation et la mise en images paraissent relever encore le niveau de défi d’imagination. Dans tous les cas, impossible de cacher l’impatience qui nous anime…
Noah Hawley est toujours le showrunner de Legion, la très équivoque Lenny (Aubrey Plaza) est toujours là aussi, tout comme Sydney (Rachel Keller), le Dr. Melanie Bird (Jean Smart),
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Ptonomy Wallace (Jeremie Harris), Cary et Kerry Loudermilk (Bill Irwin et Amber Midthunder).
Cette fois, la saison est découpée en dix épisodes, démarre le 3 avril sur FX, et en US+24 sur OCS dès le 4 avril.
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[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]The Expanse S3[/mks_dropcap]
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11/04 sur SyFy
Voilà le troisième volet de l’adaptation de The Expanse, space opera écrit par James S. A. Corey.
À la fin de la précédente saison, la très délicate (et recherchée) protomolécule est dans les mains de Fred Johnson (Chad Coleman), le chef des rebelles. Reste à savoir ce qu’il compte en faire.
Pendant que les terriens et martiens persistent à mener leurs batailles de division, de pouvoir et de territoire, la mystérieuse entité ennemie si destructrice est enfin identifiée, et les différentes parties doivent comprendre que l’alliance va être obligatoire pour en venir à bout. Mais convaincre les éternels adversaires de lutter de concert n’est pas raisonnablement faisable…
En attendant, James Holden (Steven Strait), Naomi Nagata (Dominique Tipper), Amos Burton (Wes Chatham) et Alex Kamal (Cas Anvar), à savoir l’équipage du Rocinante, font tout pour préserver la paix pour l’Alliance, toujours sur le coup pour combattre, trouver des solutions et protéger les humains de l’invasion extra-terrestre malheureusement déjà en cours…
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Au programme de cette saison, 13 épisodes d’une heure diffusés sur Syfy le 11 avril, puis sur Netflix (où sont disponibles les deux premières saisons).
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[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]Fear the Walking Dead S4[/mks_dropcap]
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15/04 sur AMC
Amateurs de chair putride et gémissante, voilà l’heure de la reprise des aventures de la famille Clark qui évolue en parallèle à The Walking Dead depuis 3 saisons… spin off de moindre facture, la série a convaincu malgré une distribution peu persuasive, un budget moins important, et une mise en scène un peu plus banale. Avouons que le genre zombie supporte généralement largement ces défauts (n’argumentons pas plus au risque de soulever le voile de la déception qui nous entoure face à la déchéance de la grande sœur The Walking Dead). BREF.
L’heure de la rencontre des deux univers a été décrétée, et voilà Morgan le roi du bâton (Lennie James) croisant le chemin de Madison maman-gâchette (Kim Dickens). Madison, qui petit à petit s’est imposée comme le nouveau shériff en ville après avoir débarrassé son groupe de certains éléments toxiques, a réussi à imposer sa meute ailleurs, dans une nouvelle communauté.
On arrête tout et on recommence dans la grande roue du mode survie-zombie.
(Soulignons quand même l’exploit narratif, à l’ellipse puissante, qu’a exigé la rencontre de la
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série qui démarrait bien avant la destruction du monde par la peste zombificatrice il y a seulement 3 saisons, et celle qui s’étale depuis la sortie du coma de Rick Grimes, des mois après la chute de l’humanité, dans un moment de jonction inscrit ici bien après la guerre contre Negan, 8 saisons plus tard.)
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[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]Westworld S2[/mks_dropcap]
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22/04 sur HBO
La deuxième saison deux la plus attendue cette année est bien évidemment celle du parc d’attraction d’humanoïdes en quête de sens et d’autonomie, Westworld. Après avoir compris les méandres tortueux de l’esprit du concepteur du parc, et surtout constaté le pire de la capacité humaine en matière de déshumanisation et de torture, le moment de voir et soutenir le soulèvement des machines est arrivé.
Dolores (Evan Rachel Wood), toujours fer de lance du mouvement de prise de conscience, est bien décidée à s’affranchir. Maeve Millay (Thandie Newton) laisse enfin exploser sa curiosité insatiable du monde extérieur, prête à tout pour découvrir la véritable réalité et imposer sa vision destructrice du droit d’exister. À ses yeux désormais, les vies humaines sont celles qui sont « consommables ».
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https://youtu.be/sjVqDg32_8s
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Alors… les robots meilleurs ou pires que les humains ? Cohabitation ou éradication ?
(Pour ceux qui auraient envie d’un coup d’œil global sur le parc tel qu’il a été imaginé par ses créateurs, rendez-vous sur discoverWestworld.com).
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[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]The Handmaid’s Tale S2[/mks_dropcap]
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25/04 sur Hulu et 29/04 sur OCS
Voilà enfin la suite de LA série de l’année passée, succès mondial mérité et multiplement récompensé. Nous retrouvons Offred (Elisabeth Moss), dont la vie prend encore une fois une voie inconnue, le chemin de la transformation, puisqu’elle attend un enfant. Ce qui lui sauve la vie et la condamne à la fois. Encore une fois, le destin féminin est décortiqué et chauffé à la flamme de l’anticipation, avec de réelles racines dans la réalité la plus crue et connue.
Cette saison nous présente également les fameuses colonies dans lesquelles sont envoyées les femmes stériles ou punissables (finalement n’est-ce pas la même chose que d’être inutile ou nuisible ?).
Le point de vue s’élargit donc sur le monde de Gilead, alors que celui d’Offred risque de se fermer de plus en plus…
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https://youtu.be/dKoIPuifJvE
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Notez donc en rouge sur vos tablettes, faites sonner les trompettes électroniques : June est de retour dans la deuxième saison de The Handmaid’s Tale le 25 avril sur Hulu et le 26 en US+24 sur OCS !
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NOUVELLES ARRIVANTES
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[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]The Crossing[/mks_dropcap]
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02/04 sur ABC
Des réfugiés fuyant leur pays en guerre échouent sur les plages de Port Canaan, une petite ville de pêcheurs aux États-Unis. Mais il apparaît que le pays qu’ils fuient n’est autre que celui qui les accueille… mais quelques siècles plus tôt.
Des réfugiés temporels, voilà le pari de la vision des créateurs de la série, Dan Dworkin et Jay Beattie, celle de la crise migratoire que le monde connaît et le terrible résultat humanitaire qui en découle.
Si l’inspiration est d’origine réaliste, le résultat reste une fiction ancrée dans les règles de la science-fiction futuriste.
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https://youtu.be/vq4w6GhDTmU
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En Oregon, le shériff Jude Ellis (Steve Zahn) doit venir en aide à des survivants d’un possible naufrage. 47 personnes sur 500 victimes au total, demandent assistance et asile en expliquant la guerre qui fait rage presque 200 ans plus tard.
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Malheureusement, leur simple présence va modifier les événements, influer sur le présent, et menacer le déclenchement d’une guerre en 2018.
Dans la foule des survivants, un personnage se détache : Reece (Natalie Martinez). Elle est la preuve parfaite de la réalité des dires des rescapés, en tant que représentante d’une partie de la population génétiquement modifiée, les « Apex », aux capacités physiques et mentales « améliorées ». Ceux-là même qui sont à l’origine du massacre d’humains dits « inférieurs », et de leur échappée temporelle.
Mais aujourd’hui, elle est surtout à la recherche de sa petite fille dont elle a été séparée pendant la traversée, placée dans un camp de rétention monté par les fédéraux, très concernés par cette aventure fantastique.
Découpée en 11 épisodes, The Crossing démarre sur ABC le 2 avril.
[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]Kiss Me First[/mks_dropcap]
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02/04 sur Channel 4 et Netflix
Kiss Me First est l’adaptation du roman du même nom, écrit par Lottie Moggach et publié en 2013. Ce thriller d’aventures à la fois virtuelles et réelles a tenté Bryan Elsley (Skins) et convaincu Channel 4 et Netflix de s’associer à la production pour un format de 6 épisodes.
Leila (Tallulah Haddon) a 17 ans et vient de perdre sa mère. Son refuge est un jeu de réalité virtuelle dans lequel elle fait évoluer son avatar « Shadowfax », en toute sérénité. L’évolution au sein du jeu se complique lorsqu’elle découvre Red Pill, une sorte d’espace clandestin paradisiaque et mystérieux, accessible uniquement sur invitation par Adrian (Matthew Beard), son créateur. Elle y rencontre Tess (Simona Brown), qui ressemble à tout ce qu’elle n’est pas : forte, spontanée, curieuse de tout et intrépide. Mais qui cache également un lourd secret.
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Tess décide de se présenter à Leila IRL, puis disparaît de manière énigmatique. Leila endosse alors la personnalité de Tess à travers son avatar pour comprendre ce qui lui est arrivé et affronter la vérité qui se cache derrière l’éden digital dans lequel elle se sentait tant en sécurité.
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Jusque-là.
Kiss Me First n’est pas seulement l’opportunité d’évoquer les notions de liberté et d’image de soi, mais également de se questionner sur la possibilité de manipuler expérience et l’inné dans une dimension différente, et à quel point on peut y être un autre.
Connaître et savoir ne sont pas les mêmes choses dès lors qu’il s’agit de remplacer quelqu’un car, même en sachant une grande quantité de ce qui le ou la constitue, il reste impossible de se substituer totalement. Du moins sans se perdre.
À la réalisation de cette série à la mise en scène hybride, Misha Manson-Smith et à la direction de l’animation, Kan Muftic. Dès le 2 avril sur Channel 4, et ensuite sur Netflix.
[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]The Last O.G.[/mks_dropcap]
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03/04 sur TBS
Quand Tray (Tracy Morgan) est relâché après avoir été emprisonné pendant 15 ans, il ne se doute pas à quel point le monde a pu changer pendant son absence. De retour dans son ancien quartier à Brooklyn, il est tout d’abord déconcerté par la gentrification de son voisinage. Des cafés tendance aux noms compliqués, de jolies couleurs, du tourisme même… en surface et en profondeur, son monde a changé.
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Et quand il croise son ex, Shay (Tiffany Haddish), c’est pour apprendre que non seulement elle est désormais mariée à un honnête homme blanc, mais également qu’ils élèvent deux jumeaux (Amira et Shazad) dont le père biologique est… Tray.
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Le choc passé, le voilà prêt à prendre les choses en main, participer à la vie de ses deux enfants, trouver un boulot et… ne pas y arriver. Très vite débordé et désargenté, les vieilles habitudes reprennent le dessus.
The Last O.G. est une comédie créée par John Carcieri et Jordan Peele (réalisateur de l’oscarisé Get Out), développée en 10 épisodes de 30 minutes, et diffusée à partir du 3 avril sur TBS et en US+24 sur Warner TV.
[mks_dropcap style= »rounded » size= »30″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]Deep State[/mks_dropcap]
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05/04 sur Fox UK
Max Easton (Mark Strong) est retraité du MI6, les services du renseignement extérieur britannique. Ou plutôt était. Rappelé de force sur le terrain pour empêcher un programme iranien de fabrication de missiles, il apprend brutalement la mort de son fils qui avait suivi ses traces en devenant lui-même un espion.
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Le désir de le venger l’emmène au centre d’une guerre entre agences, et de conspirations visant à tirer profit des crises du Moyen-Orient.
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Deep State est une série de 8 épisodes créée par Simon Maxwell et Matthew Parkhill, diffusée à partir du 5 avril sur Fox UK.
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08/04 sur BBC America
Eve (Sandra Oh) travaille pour le MI5, mais s’ennuie terriblement à de simples tâches de bureaucratie, loin très loin des idéaux qui l’avaient conduite à s’engager auprès des services de renseignements responsables de la sécurité intérieure. En un mot être espionne.
Villanelle (Jodie Comer) tue. C’est son job et son plaisir. Élégante et psychopathe. Éduquée, entraînée, chic et sans pitié, elle a choisi son nom de code poétique d’après une anecdote morbide liée à la décapitation.
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https://youtu.be/dbe3w425o4I
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Leur rencontre n’est évidemment pas le fruit du hasard. Elles connaissent très bien l’activité de l’une et de l’autre.
S’amusent de leur intérêt commun.
Se chassent.
S’obsèdent.
Se confrontent.
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Killing Eve est créée, scénarisée et produite par la comédienne et scénariste Phoebe Waller-Bridge (à qui l’on doit l’excellente série Fleabag), et est l’adaptation en 8 épisodes des romans Villanelle de Luke Jennings.
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13/04 sur Netflix
Reboot de la série de 1965, Lost in Space avait déjà subi une (piètre) adaptation cinéma en 1998, et l’heure de sa mise à jour aux techniques actuelles et au développement sériel SF tel qu’on l’ose aujourd’hui est arrivée.
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Lost in Space retrace les aventures de la famille Robinson partie en mission d’exploration pour établir une nouvelle colonie ailleurs que sur Terre, mais qui échoue sur une planète inconnue suite à une avarie fatale.
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Les voilà dans un environnement inattendu, en phase de découverte, d’adaptation et de survie.
La première différence qui saute aux yeux grâce au nouveau trailer, est le traitement du personnage de Robot. Ici, le jeune Will tombe par hasard sur cette forme de vie étrange, qui semble être un hybride nature/machine ; alors que dans la série d’origine, le Robot faisait partie intégrante de l’équipage dès sa formation. Mais ils partagent malgré tout LA ligne de dialogue légendaire « Danger Will Robinson ! »…
Côté distribution, on reconnaît Toby Stephens, Molly Parker dans les rôles des parents John et Maureen Robinson, Mina Sundvall dans celui de Penny. Mention spéciale à Parker Posey qui s’offre le rôle ambigu du Dr Smith.