Vous ne le savez probablement pas mais vous allez avoir besoin de Boyarin autant que lui de vous.
Vous ne le connaissez probablement pas mais ça fait cinq années qu’ils peaufinent leur album dans leur coin, rien que pour vous. Cinq années qu’ils ajoutent des arrangements, qu’ils Nicolas et Pimprenellise leurs chansons, qu’elles partent dans tous les non-sens possibles et imaginables.
Cinq années de labeur et c’est cette année, en 2015, que leur premier album s’apprête à devenir un des foutoirs mélodiques les plus remarquables et parfaitement jouissifs du moment. Et ce grâce à Microcultures (souvenez-vous, ce sont les mêmes qui ont permis à Orso Jesenska d’effacer la mer et aux Apartments de sortir un album sans chansons, ni pelles, ni galantines).
Le seul problème, et pas des moindres, c’est que si Boyarin fait appel à Microcultures pour que leur projet voit le jour, c’est probablement parce qu’il manque de fonds. Chance pour vous, certains vous ont devancé. Mais pas suffisamment pour boucler le projet ; il ne manque qu’un peu plus de 1000 € sur les 3000 prévus au départ et 17 jours avant la fin du projet. Une broutille me direz-vous. Certes mais suffisamment contraignante pour que cet excellent premier album ne voit pas le jour si rien n’est fait jusque là. Pour te faire une idée de l’excellence de la chose, il suffit juste de cliquer sur le lien ci-dessous.
Et si toi aussi tu aimes les Left Banke, Divine Comedy, les mélodies qui vont dans tous les sens, si tu as l’amour du risque chevillée au corps, alors n’hésite pas à participer à l’aventure. Tous les détails sont sur le site de Microcultures et sur le facebook de Boyarin.