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Les Inédits LittérairesLittérature Etrangère

Sainte Caboche, extrait du livre qui sortira le 14 Mars chez Belleville éditions

Julien Delorme
Par Julien Delorme
Publié le 9 mars 2017
15 min de lecture

[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]E[/mks_dropcap]n 2006, Socorro Acioli participe à un atelier d’écriture dirigé par Gabriel García Márquez à Cuba. C’est sur cette île hantée par la figure d’un autre prix Nobel, qu’elle compose les premières lignes de Sainte Caboche. Encouragée par le maître qui lui enseigne que « l’auteur doit être emporté le premier », elle décide de faire de sa petite histoire un grand roman.
Prenant pour base une situation réelle – les statues de saints géants qui émaillent sa région, elle invente l’histoire de Samuel, vagabond venu accomplir les dernières volontés de sa mère qui, élisant domicile dans la tête de l’une de ses statues, commence à entendre les prières qu’on adresse à celui-ci. De ce prétexte découle un roman ambigu, tout empreint d’une magie domestique, rurale, d’un humour de farce et – Brésil oblige – de cet état mélancolique si particulier qu’est la saudade. On y retrouve un peu de l’atmosphère du Macondo de Márquez, un endroit où la réalité la plus terre à terre se heurte aux forces du hasard et de l’inconnu, où folie, magie et coïncidences sont liées en des écheveaux compliqués.

Sainte Caboche, deuxième publication de Belleville éditions, paraîtra le 14 Mars dans une belle traduction de l’écrivain Régis de Sa Moreira – qui s’attaque ici, pour la première fois au brésilien, sa langue paternelle.

Embarquement immédiat pour Sainte Caboche avec un extrait !

 

CABOCHE

Il était exactement cinq heures du matin quand Samuel s’éveilla, tourmenté et confus. Il entendait des voix de femmes, de plusieurs femmes, qui parlaient toutes en même temps. Elles parlaient, parlaient, parlaient. Ça ressemblait tout à la fois à une prière, une dispute, une conversation. Peut-être était-ce un cauchemar ? Ça lui rappelait les femmes du Horto. Épouvanté, Samuel s’assit, bien réveillé à présent, mais les voix persistèrent. Plus hautes, plus fortes, et, oui, c’était une prière. On aurait dit les voix des amies pleureuses de Mariinha, celles qui récitaient leur rosaire quand les gens mouraient. Samuel se précipita hors de cette grotte maudite, oubliant que sa jambe avait été mordue par un chien et qu’il était faible, affamé, fatigué. Quelques mètres plus loin, il s’écroula au sol. Il n’y avait aucune femme en train de prier, ni personne d’autre dans les parages, pas même les chiens de la nuit passée. En dehors de la grotte, il n’y avait que la forêt, la pluie fine et le silence. Pas la moindre voix. Le soleil lui-même se levait sans bruit.
Samuel se retourna pour voir où il avait passé la nuit. Le ciel était couvert, à la faible lumière du jour il découvrit que la grotte était en réalité une tête géante, vide, effrayante. La tête d’un saint. Malgré l’herbe qui la recouvrait, il distinguait un nez grotesque formé par deux énormes trous, une bouche tournée vers le ciel, des lèvres épaisses et fermées, des yeux protubérants, un air grave. Le plus effroyable, c’était les globes oculaires : deux boules de ciment attachées aux orbites par des fils d’acier. La tête n’était pas taillée dans un seul bloc mais composée de pièces symétriques, numérotées à la peinture blanche. Samuel se mit péniblement sur pied et s’approcha.
Il crut qu’il délirait. Un chien fou l’avait mordu, et lui aussi était devenu fou. Le jour s’éclaircissait, laissant voir l’étrange grotte, suffisamment haute pour que Samuel puisse y tenir debout. Du cou de la sculpture jusqu’au sommet du crâne, c’était presque aussi grand que la petite maison où il avait habité avec sa mère. Il s’agissait bien de la tête d’une statue, creuse, gigantesque, terrifiante et couverte d’herbes, dans la ville de Candeia. Son seul refuge au monde était un saint décapité, et il retourna à l’intérieur.
Sa blessure à la jambe le faisait de plus en plus souffrir, la peau s’enflammait peu à peu, et il n’arrivait plus à marcher. Il lui restait encore un peu d’eau dans sa bouteille, et un peu de pain ramolli. De l’intérieur de la tête, Samuel aperçut le goyavier avec quelques fruits verts qui pendaient à une branche basse. Pensant qu’il réussirait peut-être à l’atteindre, il sortit. Il observa de nouveau la tête saugrenue, mais cette fois il leva les yeux en haut de la colline et découvrit, stupéfait, que le reste du corps se trouvait là-bas, sur le sommet.
Peut-être qu’un géant avait décapité le saint, pensa-t-il. Lui avait tranché le cou avec une épée, après quoi le crâne avait dévalé la colline. Il ne voyait pas d’autre explication à une telle aberration : la caboche avait roulé comme un ballon et s’était arrêtée en bas. Toute grise, sans peinture. Elle n’avait ni la blancheur du père Cícero, ni les couleurs de saint François. Samuel rit intérieurement. Il rit du saint décapité, cueillit les goyaves vertes et retourna dans sa tête. Il rit de peur aussi.
Samuel mordit dans les fruits rongés par les vers, avala des chenilles, soulagea sa faim. La pluie continua toute la journée, ce qui fit son affaire. Il alla s’asseoir devant la tête, retira ses vêtements pour se laver, but l’eau de pluie. Du coin d’un des yeux de la statue coulait une fontaine parfaite pour remplir sa bouteille. Les larmes du saint, aurait dit Mariinha. Le jeune homme passa la journée ainsi, endurant la douleur, se souvenant de sa mère, nettoyant sa blessure, s’abreuvant d’eau de pluie.
Dans l’après-midi, il s’endormit une nouvelle fois, pour être réveillé de plus belle, à cinq heures précises, par ces voix de femmes qui tourmentaient sa raison, ou ce qu’il en restait. Samuel n’avait pas de montre et ignorait qu’il était cinq heures. Dehors, tout était toujours désert. Il colla son oreille au ciment et entendit plus nettement une des voix. Elle adressait une prière, une prière très claire, une requête à saint Antoine.
Les litanies des femmes résonnaient en effet dans la tête du saint et Samuel, pour une raison inconnue, était capable de les entendre. Le jour suivant, il mangea des goyaves, des feuilles, but de l’eau de pluie et se rendit compte que les prières avaient toujours lieu le matin et l’après-midi. Les voix n’étaient pas forcément toutes là et les paroles changeaient, mais leur demande restait toujours la même : ces femmes étaient amoureuses et elles voulaient se marier.

* * *

Samuel passa quatre jours dans la grotte à manger des goyaves vertes et des feuilles d’arbres, et à boire l’eau de la pluie qui finit par s’arrêter. Sa blessure s’était aggravée. À cause de la faim et de la fièvre provoquée par l’infection, son état se dégradait chaque jour. Il n’était plus capable de se mettre debout et il aurait été condamné à mourir dans cette tombe invraisemblable s’il n’avait pas reçu un grand coup dans le dos.
Un paquet qui tomba par le nez du saint et rebondit sur sa nuque. En se retournant, Samuel vit plusieurs sacs plastiques remplis de quelque chose. Alors qu’il se traînait pour s’approcher, un garçon fit irruption dans la tête, s’empara vivement du paquet, l’éclaira à l’aide d’une petite lampe et l’ouvrit. Après avoir déballé une série de sacs, il dirigea la faible lumière de sa lampe sur les pages qu’il tenait d’une seule main. Des revues pornographiques.
— Qu’est-ce que c’est que ce foutoir ?
Le garçon hurla de frayeur. Pâle, apeuré, il eut pour seul réflexe de remonter en vitesse son pantalon.
Samuel éclata de rire, de tout le rire qu’il avait gardé en lui pendant ces journées de solitude. Il s’esclaffa devant le pathétique de la scène : un gamin venu reluquer des revues pornographiques dans la tête d’un saint décapité. Il estimait avoir vu beaucoup de choses à Juazeiro, mais là, ça surpassait tout.
Le gamin s’appelait Francisco et il était âgé de treize ans. Il avait découvert cette cachette environ un an plus tôt et avait pris l’habitude d’y venir en secret. Les revues, il les récupérait auprès du camionneur qui faisait toujours un stop au bar de Candeia et il s’en servait chaque fois qu’il en avait l’occasion, remplissant le crâne du saint de ses fantasmes d’adolescent. Affolé, Francisco raconta toute son histoire, en tremblant sous les questions de Samuel.
L’intérieur de la tête était sombre, on y voyait mal. Aucun habitant de Candeia ne serait entré dedans, se dit Francisco, cet homme était forcément un étranger, un fugitif, un assassin, un marginal de la pire engeance – telles furent ses pensées au cours des quelques secondes qu’il mit à attacher son pantalon et se lever pour partir.
— Si tu me trouves de la nourriture, je ne parlerai à personne de ton comportement immoral.
— T’es un bandit, c’est ça ?
— Pas encore. Mais je m’apprête à tuer quelqu’un que je hais.
— La police te court après ?
— Pas encore.
— Qu’est-ce que tu fais, ici ?
— Je suis venu pour trouver mon diable de père, mais je veux repartir au plus vite. Sans cette blessure à la jambe, je serais déjà loin. Ne t’inquiète pas, je ne compte pas m’installer dans ton château.
Le garçon prit un air dégoûté en voyant la blessure enflammée, rouge, infestée de pus.
— Y a un hôpital ici ? lui demanda Samuel.
— Non, juste un poste médical
— Et il y a un médecin ?
— Seulement le vendredi.
— On est quel jour aujourd’hui ?
— Samedi.
— Comment tu t’appelles, gamin ?
— Je suis pas un gamin.
— Comment tu t’appelles ?
— Francisco.
— Si tu m’emmènes voir le médecin vendredi, Francisco, je prendrai des médicaments, je partirai d’ici et je laisserai ta tête en paix. Tes deux têtes, d’ailleurs.
— T’es arrivé quand ?
— Il y a quelques jours.
— Et tu vis de quoi ?
— De goyave verte. J’ai mangé des feuilles d’arbres aussi.
— Quel médicament il faut pour te guérir ?
— Sais pas. De l’alcool.
— Ça va brûler, même une goutte.
— Tu sais où en trouver ?
— À la maison on a des remèdes pour soigner les blessures, je peux te rapporter de la pommade.
— Si tu peux aussi m’apporter quelque chose à manger, j’accepte n’importe quoi. J’ai peur de mourir là-dedans.
— Il manquait plus que ça, un cadavre dans la tête du saint. Ça risque de rendre cinglés les derniers habitants de Candeia.
— Plus vite tu m’aides, plus vite je déguerpis. Et je ne parlerai à personne de ta cachette.
Francisco se laissa facilement prendre au grossier chantage de Samuel et s’en alla.
Il revint le jour même avec la pommade au basilic que sa mère utilisait contre les furoncles. Il s’assit de nouveau, le gamin avait envie de discuter, de comprendre. Sa curiosité l’emportait peu à peu sur sa peur. Le chantage exercé par l’étranger le mettait en colère, en même temps qu’il compatissait à sa peine. Il se mit à lui rendre visite chaque jour, lui apportant de l’eau et de la nourriture volées en douce. Faute de trouver de l’alcool à 90° C, il lui fournit de la cachaça qui, aussi surprenant que cela paraisse, permit de nettoyer le pus et laisser la pommade agir, après quoi la blessure cessa au moins d’empirer.
Se rendre chaque jour à la tête du saint représentait un risque immense. C’était presque un crime aux yeux des habitants de Candeia, la ville que ce crâne vide avait condamné à mort. Mais Francisco préférait courir ce risque que d’être dénoncé. Si ce type se fâchait et allait tout raconter à quelqu’un, il était perdu. En plus de cela, le gamin commençait à bien aimer la compagnie de l’étranger. Samuel avait le sens de la conversation.

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Illustration de couverture : Fernando Chamarelli

Illustrations intérieures : Alexis Snell

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EtiquettesBelleville éditionsGabriel García MárquezRégis de Sa MoreiraSainte CabocheSocorro Acioli
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