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Addict Report

The Cure can never be the same

Team Musique
Par Team Musique
Publié le 5 décembre 2016
20 min de lecture

Retour de notre Team Musique sur l’un des évènements scéniques ayant marqué cet automne musical : le come-back des anglais de The Cure pour une tournée européenne qui fit escale en Europe et notamment du côté de Berlin, Cologne et Paris.

 

Live report Berlin 18/10/ 2016

[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]C’[/mks_dropcap]est avec deux heures de retard et une certaine anxiété – l’avion comme tous les transports en commun est pour moi une source de stress – que nous atterrissons à Berlin, la perspective de la soirée qui nous attend remet les pendules à l’heure : mon troisième voyage dans cette ville est pour découvrir sur scène la nouvelle tournée de The Cure ! J’avoue que l’impatience était grande. L’après-midi nous passerons d’ailleurs à l’East Side Gallery, vestige du mur de Berlin situé près de l’Arena Mercedes où se déroule le show.

C’est un sentiment de familiarité retrouvée et d’étrangeté persistante que l’on éprouve à revenir dans une ville que l’on a déjà visité, Berlin me procure toujours un effet boostant, certainement dû à sa perpétuelle mutation tellement ça se construit dans tous les sens. Un squatt – le Tacheles– que j’avais adoré lors d’une précédente visite a disparu, mais je retrouve en déambulant dans les rues tout ce qui me manque à Paris : un air moins pollué avec même des senteurs automnales de terre et de feuilles, de larges avenues fluides, beaucoup moins d’éclairages public créant des zones plus intimes avec des terrains vagues au milieu d’immeubles, et un sentiment apaisé entre les habitants qui fait vraiment du bien. Le froid par contre semble s’être déjà bien installé, un voile de brume recouvre la ville qui a tout l’air d’émerger d’un rêve.

Le soir arrive enfin, et quel moment de volupté absolue lorsque les lumières s’éteignent sur la promesse de moments magiques, un instant sublime toujours renouvelé qui me met les larmes aux yeux à chaque fois ; c’est donc avec beaucoup d’émotion que je vois arriver sur scène Robert Smith et les autres membres du groupe qui entament d’emblée un Shake Dog Shake toujours efficace pour lancer les festivités suivi d’un Fascination Street énergique.

Nous aurons beaucoup de singles ce soir, mais quand on voit la réaction de la foule joyeuse sur The Walk qui danse semant un beau bordel dans les rangs, je ne peux m’empêcher de me dire que ce que j’aime aussi profondément chez The Cure c’est justement cette étrange alchimie entre chansons pop devenues cultes et chansons plus introspectives. Friday I’m In Love crée carrément une véritable ovation, le groupe enchaîne les titres, Pictures Of You toujours aussi beau et romantique fonctionne à merveille. La fin du set est plus hasardeuse quant au choix des chansons, Alt.end est suivi de façon totalement improbable par One Hundred Years et enfin un Give Me It colossal qui me met plus en joie que certains singles maintes fois entendus mais qui a l’air de surprendre la foule par son côté brut de décoffrage, ce qui me fait sourire.

Le premier rappel est un grand moment d’anthologie avec le nouveau titre It Can Never Be The Same qui me colle des frissons dès les premières notes, Sinking sublime poursuit dans une veine mélancolique, Burn le morceau que j’attendais d’avoir en live depuis vingt ans – B.O. du film The Crow – et enfin A Forest  magnifique version qui revient à ses débuts: les meilleures vingt minutes du concert. Les deux autres rappels verront les titres phares de The Cure boucler le concert avec deux surprises Dressing Up et The Perfect Girl. Le dernier morceau sera Why Can’t I Be You ?

Je n’ai toujours pas compris pourquoi le groupe a choisi de finir sur ce single pour clore les concerts de cette tournée. 33 titres au total mais je dois dire avec sincérité malgré mon engouement indéfectible pour The Cure que je préférerais en avoir moins pour un meilleur équilibre entre chansons plus intimistes et singles. Accord que j’ai eu la chance de connaître lors de précédents concerts.

Johann

crédit photo > Raphaël Perret
crédit photo > Raphaël Perret

 

Live report Cologne 10/11/ 2016

[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]D[/mks_dropcap]euxième date le 10 novembre à Cologne. Dans les rues déjà quelques personnes déguisées en vue de la journée de pré-carnaval, alors c’est vous dire si l’ambiance était fun et accueillante. Nous logeons chez des amis qui le sont tout autant, aller à un concert à l’étranger c’est aussi créer des occasions que nous ne prenons pas assez le temps de faire. Toujours aussi impatient de voir The Cure, presque un mois est passé depuis Berlin, et bien sûr quand on fait plusieurs dates sur une tournée on espère une setlist différente et quelques moments forts qui n’appartiennent qu’à ce soir-là.

En ouverture ce sera Open, gigantesque, qui me fait vibrer une nouvelle fois, j’adore ce morceau et ses paroles si ironiques en somme « I really don’t know what I’m doing here i really think i should ‘ve gone to bed tonight but… just one drink and there’s people to meet you ». Je n’aurais pas parié dessus mais The Walk est très efficace en début de set, Push et Pictures of you dont je ne me lasse jamais. La fin du premier set est réussi, Trust avec une montée parfaite, puis From the Edge of The Deep Green Sea, One Hundred Years et End.

Le premier rappel m’offre une nouvelle chanson de la tournée, Step into the light, une jolie ballade intimiste, on sent Robert inspiré sur des sujets plus personnels comme pour l’autre chanson It Can Never Be The Same que l’on n’aura pas ce soir, mais la suite du rappel avec Want que j’aime beaucoup, Burn décidément une vraie merveille en live et A Forest qui parvient à garder son mystère reste un des moments fort du concert.

Le deuxième rappel qui démarre sur Fascination Street fonctionne plutôt bien. Robert – fait assez rare pour le signaler – dit quelques mots des résultats des élections américaines tombés la veille « Donald Trump ??!! Seriously ?!! » et conclut d’un « What ???!!! » stupéfait et drôle. Le groupe joue Wrong Number qui prend ce soir tout son sens, Robert visiblement le dédie aux américains « I had the best laid plans this side of America / Started out in church and finished with angelica / And now I dig it in the dirt / And I’m down here for a while… » Le troisième rappel sera sans réelle surprise si ce n’est Doing The Unstuck, Wish aura été à l’honneur ce soir. Un très bon concert, un public chaleureux, et une rentrée dans la nuit avec des températures sous zéro…

Johann

crédit photo > Raphaël Perret
crédit photo > Raphaël Perret

***

Live report Paris 15/11/2016

[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]D[/mks_dropcap]ifficile pour moi d’être objectif avec le groupe. J’ai eu tellement d’émotions qui se sont percutées avec ma propre sensibilité de vie, des souvenirs datant d’une époque désormais lointaine. The Cure devenu à force d’abnégation un dinosaure indéboulonnable au sein des rares gloires survivantes des nostalgiques années 80 (pour celles et ceux qui avaient la tignasse ébouriffée et les humeurs remplies de spleen). Une musique rescapée d’une genèse entamée dans un pub de Crawley (The Rocket) et programmée presque 40 ans plus tard sur une tournée pantagruélique qui nous fit l’honneur d’une date parisienne à guichet fermé.

Mon onzième concert des anglais avec la particularité non anecdotique de vivre l’évènement pour la première fois non pas dans la fosse aux corbeaux mais dans les gradins de l’AccorHotels Arena dont le concepteur n’aura sans doute pas eu un grand soucis du « handicap » occasionné pour les personnes de mon envergure devant la toise. A ce désagrément relatif s’ajoute une ambiance de sénateurs, mes voisins de gradin n’étant pas vraiment d’humeur très rock’n’roll. Bref, des conditions qui ne me permettront pas de savourer à sa juste valeur la première partie pourtant alléchante assurée par les écossais de The Twilight Sad.

Sur les spirales hypnotiques de Tape/Open, l’icône vivante et sa chemise noire à paillettes déboule sur la scène accompagnée de ses quatre sbires. Si le chanteur clame qu’il ne sait pas ce qu’il fait ici, ce n’est pas le cas d’une foule qui en prend plein les mirettes. Grondement dans l’assistance sur les riffs multicolores du saisissant All I Want exécuté avec panache. Un titre que je souhaitais voir sur la setlist après avoir fait brûler une dizaine de cierges : Vœu enfin exhaussé !

La suite est du grand classique et frise même la sensation d’avoir des protagonistes sous pilotage automatique. Il faut dire que dès l’amorce de Lovesong , morceau de choix non réputé pour ses déflagrations loud, je comprends assez vite que la machine n’a pas le désir de faire dans la nuance. Chaque titre est joué à forts décibels au détriment sur certains morceaux de quelques finesses harmoniques. Exemple encore plus frappant sur Before Three qui aurait mérité à mon sens un meilleur traitement. Petit à petit, je découvre un Robert Smith sur une certaine réserve vocale. Une fatigue bien compréhensible qu’il arrive à contourner avec habileté en transformant notamment le sémillant A Night Like This en quasi slam new-wave. L’instant est par contre plus dommageable lorsque le rendu se trouve confiné dans une sorte de gloubi-boulga auditif. Quelques bémols auxquels viendront s’ajouter un présence quasi fantomatique de Roger O’ Donnell dont le seul moment notable aura été entendu clairement sur ses nappes de synthé de Trust, oasis perdu au cœur d’une jungle plus bourdonnante.

Pour autant, je ne peux bouder mon plaisir sur l’inusable From The Edge of The Deep Green Sea et le solo stratosphérique de Reeves Gabrels, implacable guerrier des six cordes. Idem avec la prestation de bout en bout magistrale de Simon Gallup, toujours hautement perché sur des ressorts et, de fait, contrastant avec un ensemble bien plus statique.

Le grand moment de la soirée se décomposera en quatre moments de grâce : Un premier rappel qui sera initié de manière magique et poignante avec It Can Never Be The Same, véritable crève-cœur prouvant l’éternel génie d’écriture de Robert Smith. Enchaînement sur Burn, livré avec la panoplie rythmée de Jason Cooper. Là encore, la réjouissance de découvrir pour la première fois un titre d’une richesse atmosphérique aussi sombre que captivante. Dans la foulée, The Cure exécute Play For Today avec en prime la liesse du public qui entonne à l’unisson le mythique riff instrumental du refrain. Estocade dans les arborescences jouissives sur fond vert de l’extatique A Forest. La messe (noire) est dite !

https://www.youtube.com/watch?v=jpfQIVeklPs

Il restera à achever la tâche avec une pléiades de hits, histoire de soulever mes voisins de leur sieste. Un light-show à la hauteur venant amplifier le plaisir redoutable de l’indémodable succès de ces perles bien connues de tous… Clap de fin donc sur un chapelet de tubes et la sensation étrange de voir partir le groupe à jamais, comme si cet au-revoir était, hélas, un adieu… Repartir alors de cette salle avec des images récentes et anciennes dans la tête puis retrouver ses amis curistes pour un after très batcave du coté du Supersonic. Le post-rock félin de Kas Product venu pour l’occasion en live histoire de retenir encore l’instant précieux. Malgré tout ce noir, la nuit fut quasi blanche !

crédit photo > Yves-Loïc Tépho
crédit photo > Yves-Loïc Tépho

Ivlo Dark

***

 

[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]F[/mks_dropcap]an de The Cure depuis le milieu des 80’s je ne savais honnêtement pas quoi attendre de mon cinquième concert du groupe, le premier depuis leur Bercy de 2008. Aucun de ces concerts n’était comparable. Certains étaient passionnants, d’autres inégaux, les titres plus récents venant généralement polluer la joie non dissimulée d’entendre de vieux classiques. Et par classiques, je ne parle pas forcément de singles.

A l’approche du passage parisien de la tournée 2016, j’avais décidé de ne pas jouer au vieux con bourré de préjugés. J’ai évité de lire les commentaires sur les concerts précédents pour garder un effet de surprise. Je me suis rendu au concert tout excité et pas trop alcoolisé, super heureux à la perspective d’assister à un concert du groupe. Placé sur les gradins, tout au fond de la salle, a défaut d’une grande proximité avec le groupe, j’ai pu bénéficier d’une vue d’ensemble loin d’être désagréable et d’un light show à couper le souffle. Autour de moi, pas beaucoup d’ados, la moyenne d’âge variant entre 40 et 60 ans. Beaucoup de fans hardcore portaient badges et t-shirts à l’effigie du groupe. La calvitie n’aidant pas pour ces messieurs, et la peur du ridicule de façon générale on fait que presque plus personne n’arborait la coupe en pétard des grands jours.

Les lumières s’éteignent et le groupe monte sur scène. Le concert s’ouvre sur Open qui ouvre lui même Wish, le dernier disque correct du groupe. Ce dernier sera d’ailleurs le plus représenté ce soir puisque le groupe en jouera six extraits. La guitare de Reeves Gabrels, collaborateur régulier de Bowie, apporte puissance et ampleur au son du groupe tout en restant au service du groupe. Son côté “je suis un as de la guitare” me faisait un peu peur initialement. Simon Gallup, ne reste pas coincé derrière son énorme ampli sur lequel il a tagué “Bad Wolf” (une référence à Dr Who ?) et arpente la scène de long en large. Il est le seul membre du groupe sur lequel l’âge ne semble pas avoir de prise. Bref, Open est un titre parfait pour démarrer les hostilités.

Suivent sept titres dont beaucoup de singles (In Between Days, Push, Primary, Pictures Of You …) enchaînés sans beaucoup de cohérence. La voix de Robert Smith est plutôt correcte, même si certains décrochages sont à déplorer. Et puis Before Three vient casser un peu la dynamique. Cette faiblesse est vite rattrapée par un A Night Like This d’anthologie, The Walk pas leur meilleur titre mais agréable à entendre en concert, puis un Just Like Heaven qui provoquera un lever de téléphone portable digne d’une compétition olympique. Et puis, encore une baisse de régime, Trust, From The Edge Of The Deep Green Sea et The Hungry Ghost (aux guitares sonnant parfois comme du Ride) plombent à nouveau l’ambiance. One Hundred Years parfaitement exécuté nous fait vite oublier la baisse de régime, avant que la première partie du concert ne s’achève sur un ennuyeux End.

Les Cure reviendront pour trois rappels. Le premier s’ouvrant sur l’inédit It Can Never Be The Same (ennui) et un titre extrait de la B.O. de The Crow, Burn (ennui bis). Le reste du concert sera un best of de douze titres. A noter une excellente version du mal aimé Never Enough, psychédélique à souhait. Le 31ème et dernier titre sera Why Can’t I Be You, sans doute le titre le plus festif du groupe.

Certains ont trouvé le concert beaucoup trop long, de mon côté je n’ai pas vu le temps passer. Mon côté vieux con a finalement pris le dessus pour rédiger ce compte rendu, mais j’ai tout de même passé un excellent moment en compagnie de Robert et sa bande. Si le concert pouvait sembler trop évident et facile pour les fans de longue date, il était impossible de bouder son plaisir d’assister à une prestation convaincante dans une salle au son étrangement correct (l’AHA n’est pas spécialement réputé pour le son de ses concerts). Avec tout de même une vingtaine de singles joués, presque tous des classiques absolus, il faudrait être fan de New Order pour trouver quelque chose à redire.

David Jégou

crédit photo > Jérôme Cousin
crédit photo > Jérôme Cousin

Après une tournée nord-américaine triomphale de 33 concerts (courant Mai et Juin 2016), The Cure aura réussi à conquérir une nouvelle fois le public exigeant d’Europe avec 34 shows qui n’attendent plus qu’une suite en guise de souvenir.

Les spéculations iront bon train quant à l’éventualité d’un DVD, de rééditions ou d’un nouvel album. Preuve que malgré les années, le groupe n’a jamais été aussi vivant !

 The Cure: site officiel – Facebook – Twitter

 

EtiquettesAccorHotels ArenaArena MercedesberlinColognejason cooperkas productparisreeves gabrelsrobert smithRoger O'donnellsimon gallupThe Curethe twilight sadTournée 2016
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👉 @cocorosie_official @joyfulnoiserecs @marion_seury
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#cocorosie #littledeathwish #joyfulnoiserecords #music #musicaddict #musiclovers #igmusic #newmusic #instamusic

📎 https://addict-culture.com/cocorosie-little-death-wish-2025/
Val Kilmer 1959 - 2025 💔 #valkilmer #ripvalkil Val Kilmer 1959 - 2025 💔

#valkilmer #ripvalkilmer
❤️ BAM ❤️: Douceur et émotions au program ❤️ BAM ❤️: Douceur et émotions au programme du splendide nouvel album de la lyonnaise Claire Days, “I Remember Something”, splendeur pop et folk !
👉 @iamclairedays @boogiedrugstore 
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📎 https://addict-culture.com/claire-days-i-remember-something-2025/
🎧 Le son du jour 🎧 : Jeremy Bradley Earl - L 🎧 Le son du jour 🎧 : Jeremy Bradley Earl - Let the Snow Fall
👉 @jeremy_bradley_earl @woodsist @marion_seury
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💜 BAM 💜 : Th Da Freak revient comme un vrai 💜 BAM 💜 : Th Da Freak revient comme un vrai groupe avec l'excellent "Negative Freaks", mélange parfait de pop et grunge à la sauce bordelaise !
👉 @thdafreak @flippinfreaks @howlinbananarecords @lesdisquesduparadis @marion_seury
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❤️BAM❤️: Avec "Et personne ne sait", Phili ❤️BAM❤️: Avec "Et personne ne sait", Philippe Forest nous livre un conte malicieux et érudit qui tente, une fois encore, l'expérience inépuisable de faire apparaître le monde.
👉 @editions_gallimard
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🎧 Le son du jour 🎧 : Japanese Breakfast - Pi 🎧 Le son du jour 🎧 : Japanese Breakfast - Picture Window
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