[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]L[/mks_dropcap]eur oeuvre majeure, The Kinks Are The Village Green Preservation Society déjà sur les rails, The Kinks continuent leur train d’enfer et sortent le 15 septembre 1967 Something Else By The Kinks, leur cinquième album en à peine 4 ans.
[mks_dropcap style= »letter » size= »85″ bg_color= »#ffffff » txt_color= »#000000″]L'[/mks_dropcap]album sera un four, aussi bien en Angleterre qu’aux Etats-Unis et marque la fin de la collaboration de Ray Davies avec le producteur Shel Talmy.
En pleine effervescence psychédélique, Ray Davies nous offre un petit chef d’œuvre de pop baroque et délicate et confirme qu’il n’a pas son pareil pour mettre en musique et chanson, les choses de la vie avec humour et élégance.
Son frérot, Dave n’est pas en reste car il nous offre 3 superbes titres, Death Of A Clown, qui pourrait prétendre au titre de la plus triste chanson du monde, le génial Love Me Till the Sun Shines, et Funny Face.
L’album est court (36 minutes), enchaîne de très, très jolies chansons, de David Watts à Afternoon Tea, de Two Sisters à End Of The Season, pas un seul moment faible. Les frères Davies ainsi que Pete Quaife et Mick Avory sont en grande forme, très grande forme.
Arrive la dernier titre, …Waterloo Sunset, la plus belle chanson jamais écrite par des musiciens anglais, quoi dire de plus… rien, tu l’écoutes tout simplement :