[dropcap]A[/dropcap]près le face à face en ombres chinoises de Jamais Assez et les images d’archive en noir et blanc du mitan du 20ème siècle des Ondes, le groupe mené par Jérôme Didelot change encore radicalement de style pour illustrer un nouvel extrait de son inépuisable Parcelle Brillante, paru en plein confinement.
Il s’agit cette fois des très inquiétantes, mais paradoxalement attirantes Mains de Bianca, qui empruntent leur titre à une nouvelle de Theodore Sturgeon. La chanson bénéficie ici d’images bucoliques, très travaillées et vaguement étranges…
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