[box type= »shadow » align= »aligncenter » class= » » width= »700″]Tous les lundis, nous vous proposons des suggestions de lecture parmi les romans qui sortent en librairie. Cette semaine, nous avons concocté une sélection au format poche. L’occasion de découvrir des titres que vous avez ratés à leur sortie, ou de redécouvrir des classiques, pourquoi pas ! Un format court, informatif, complémentaire de nos autres rubriques littéraires : de quoi aiguiser votre curiosité et vous donner envie de découvrir encore plus de littératures d’ici et d’ailleurs. Pour cette rubrique, les présentations seront basées sur les informations communiquées par les éditeurs.[/box]
[divider style= »solid » top= »10″ bottom= »10″]
📆 Les poches de janvier chez votre libraire 📆
[one_half]
La nuit du Jabberwock de Fredric Brown, traduit par France-Marie Watkins
Paru chez Rivages / Noir
Doc Stoeger est propriétaire-rédacteur en chef du Carmel City Clarion depuis vingt-trois ans. Exercer un tel métier est un drame dans une bourgade où il ne se passe jamais rien. Il soigne sa morosité au bar du coin, dispute des parties d’échecs avec le jeune Al Grainger et vit par procuration à travers les livres, en particulier l’œuvre de Lewis Carroll. Ce jeudi soir, jour du bouclage, Doc donnerait tout pour une information palpitante, pour qu’il arrive quelque chose. Les événements qui surviendront au cours de la nuit vont dépasser toutes ses espérances et même défier l’imagination. Ce livre constamment réédité est l’un des plus célèbres de Fredric Brown, un parfait condensé de son univers, à la frontière entre polar, fantastique et humour. Ce livre constamment réédité est l’un des plus célèbres de Fredric Brown, un parfait condensé de son univers, à la frontière entre polar, fantastique et humour. La nuit du Jabberwock est un chef-d’œuvre de la littérature, un roman total, un trésor de bibliothèque à côté duquel on ne peut passer.
Rivages / Noir sur Twitter – Instagram – Facebook
[/one_half][one_half_last]
Et toujours les forêts de Sandrine Collette
Livre de poche
Corentin, personne n’en voulait. Ni son père envolé, ni les commères dont les rumeurs abreuvent le village, ni surtout sa mère, qui rêve de s’en débarrasser. À la grande ville où le propulsent ses études, Corentin plonge sans retenue dans les lumières et la fête permanente. Autour de lui, le monde brûle. La chaleur n’en finit pas d’assécher la terre. Les ruisseaux de son enfance ont tari depuis longtemps ; les arbres perdent leurs feuilles au mois de juin. Quelque chose se prépare.
La nuit où tout implose, Corentin survit miraculeusement, caché au fond des catacombes. Revenu à la surface dans un univers dévasté, il est seul. Humains ou bêtes : il ne reste rien. Guidé par l’espoir insensé de retrouver la vieille Augustine, Corentin prend le long chemin des Forêts.
Ce roman a remporté le Grand Prix RTL- Lire, le Prix Amerigo Vespucci, le prix de la Closerie des Lilas et le prix du Livre France Bleu – Page des Libraires.
| Lire la chronique de Jehol.|
Le Livre de poche sur Twitter – Instagram – Facebook
[/one_half_last]
[divider style= »dashed » top= »20″ bottom= »20″]
[one_half]
La ferme des animaux de George Orwell, traduit par Charles Recoursé
Paru chez Pocket
Rumeurs dans la basse-cour… Le Capitaine, le vieux verrat, aurait fait cette nuit le rêve d’une société plus juste : une ferme égalitaire, autonome et solidaire d’où l’Homme – cet accapareur cupide du fruit de leur labeur – serait chassé. Aussitôt, M. Jones et sa famille sont boutés hors du domaine, de vertueux commandements, édictés, l’« animalisme », décrété… Mais une petite élite de cochons, parmi lesquels l’ambitieux Napoléon, réfléchit déjà à confisquer le pouvoir à son profit, dévoyer l’idéal révolutionnaire et étendre partout son contrôle.
Toute ressemblance avec des cochonneries existantes, ou ayant existé, n’étant évidemment que pure coïncidence…
Cette nouvelle édition est une belle occasion de découvrir ou de redécouvrir cette brillante dystopie politique publiée pour la première fois en français en 1947 et qui a inspiré bon nombre d’auteurs.
Les éditions Pocket sur Twitter – Instagram – Facebook
[/one_half][one_half_last]
Le gardien invisible de Dolores Redondo, traduit par Marianne Millon (Trilogie du Baztan, vol. I)
Paru chez Folio
Au Pays basque, sur les berges du Baztán, le corps dénudé et meurtri d’une jeune fille est retrouvé, les poils d’un animal éparpillés sur elle. La légende raconte que dans la forêt vit le basajaun, une étrange créature mi-ours, mi-homme… L’inspectrice Amaia Salazar, rompue aux techniques d’investigation les plus modernes, revient dans cette vallée dont elle est originaire pour mener à bien cette enquête qui mêle superstitions ancestrales, meurtres en série et blessures d’enfance.
Premier volume de la trilogie signée par le nouveau phénomène de l’édition espagnole. Les deux autres volumes (De chair et d’os et Une offrande à la tempête) paraissent en même temps chez le même éditeur.
Dolores Redondo a fait des études de droit et est l’auteur de romans historiques et policiers. Sa trilogie remporte un succès international remarquable, à juste titre.
Les éditions Folio sur Twitter – Instagram – Facebook
[/one_half_last]
[divider style= »dashed » top= »20″ bottom= »20″]
[one_half]
Lake Success de Gary Shteyngart, traduit par Stéphane Roques
Paru chez Points / Seuil
À quarante-trois ans, Barry Cohen, New-Yorkais survolté à la tête d’un fonds spéculatif de 2,4 milliards de dollars est au bord du précipice. Sous le coup d’une enquête de la Commission boursière, accablé par la découverte de l’autisme de son jeune fils, il décide de tout lâcher pour embarquer dans un car Greyhound vers le Nouveau-Mexique. D’est en ouest défile un continent étranger : l’Amérique des marginaux et des déclassés. Tandis que sa femme Seema entame une liaison avec un romancier…
Né en 1972 à Saint-Pétersbourg et arrivé aux États-Unis six ans plus tard, Gary Shteyngart est l’auteur de Traité de savoir vivre à l’usage des jeunes Russes, Absurdistan, Super triste histoire d’amour et Mémoires d’un bon à rien, tous disponibles chez Points.
Les éditions Points sur Twitter – Instagram – Facebook
[/one_half][one_half_last]
Nothing Man de Jim Thompson, traduit par Julien Guérif
Paru chez Rivages / Noir
Le vétéran Clinton Brown, handicapé à vie par une terrible blessure de guerre, s’enferme dans une solitude absolue, avec pour seule compagne sa bouteille d’alcool. Sa femme Ellen s’efforce de le ramener dans le monde des vivants… Mais Clinton Brown a un terrible secret, et il est prêt à tout, vraiment tout, pour le garder. Bientôt, les morts s’accumulent autour de lui… Un roman remarquable à la fois pour son exploration de la psychologie d’un homme blessé, pour l’habileté et la noirceur de son intrigue et pour son incursion dans un aspect très sombre de l’Amérique de l’après-guerre.
Plongez dans la noirceur dense de Jim Thompson grâce à une nouvelle traduction de ce titre classique publié pour la première fois à la Série noire en 1966 sous le titre M. Zéro, dans une version tronquée.
Rivages / Noir sur Twitter – Instagram – Facebook
[/one_half_last]
[divider style= »dashed » top= »20″ bottom= »20″]