Le ministre écolo face aux gilets jaunes
Tintin au Pays de l’or Noir,
tout ce jaune, cette chaleur,
il a soif, soif, soif, et aimerait
ne pas traverser ce putain de désert,
craint les mirages et miroirs aux alouettes
en voie d’extinction, brandit
sa naïveté et son fier optimisme
sans peur et sans reproche, réalisant
progressivement qu’il n’est rien sans
les autres, notamment cet ivrogne
bourru qui dissimule tant de bon sens
sous son vernis de vulgarité,
et on voudrait nous faire croire
que les choses sont binaires, qu’une porte
doit être ouverte ou bleue.