Texte lumineux, hommage au meilleur album de Bruce Springteen, Darkness on the edge of town.
Une écriture sculptée.
A la lecture, violente, brute, la rage au cœur, Sombre aux abords vous prend.
Tension vive, adolescente, sexuelle.
Ne pas respirer, lire, s’essouffler.
Ponctuation, toujours, forte, agressive, toujours, essentielle.
Les bagnoles, la vie qui pue , l’amour, se mettre à rêver…
A la fois sale et délicat, intense, très. Sombre aux abords semble écrit au rasoir, lame aiguisée, acier trempé.
Ma BO de lecture :
Sombre aux abords de Julien d’Abrigeon publié chez Quidam éditeur, Août 2016